Le premier boulot marque souvent l’entrée dans le monde des responsabilités. C’est souvent durant l’été que l'ont obtient son 1er job. La plupart ont tous déjà eu des petits boulots d’été, mais garder les enfants du coin ne comporte pas les mêmes responsabilités que d’avoir un vrai travail.

Le sens des responsabilités grandit avec les jeunes et surtout durant l’adolescence. Les premiers boulots permettent de comprendre les gens et les relations humaines. Ils permettent aussi d’apprendre à mieux se connaître soi-même, parfois à se « dégêner », à développer différentes compétences et à découvrir d’autres facettes de notre personnalité.

C’est plaisant également monétairement, le travail procure de l’argent pour les achats. Sans oublier que c’est le début d’une transition entre le monde des études et celui du travail…

« J’ai été engagée au Musée maritime du Québec pour un job d’été en tant que guide et, au début, la quantité d’informations à se souvenir m’a intimidée, mais j’ai bien été accueillie et l’équipe m’a motivée. Les clients ont compris ce que c’était, le stress de mes premières journées, et je mis suis mise à l’aise rapidement. Ça me plait comme travail. Il est intéressant et ilme permet d’en apprendre plus à chaque jour», explique Laurie, étudiante en secondaire 4 à l’école Bon-Pasteur.

De mon côté, j’entre dans le monde du travail avec le journal Le Hublot. Ce travail me plait. J’ai la chance de découvrir comment le journal est fait, et ce, sur presque toutes les facettes. Je rencontre de nouvelles personnes et je découvre un côté de moi beaucoup plus curieux que je ne l’aurais cru pour les nouvelles et les gens du coin. Ce boulot me permet de développer mon sens des responsabilités, mes aptitudes à écrire des textes et ma manière d’interagir avec les gens dans différents contextes.

Léane Journault, stagiaire

Journal Le Hublot