Cinéma...
par Guylaine Hudon le 2018-01-05
Voici la programmation pour janvier 2018, au Centre socioculturel Gérard-Ouellet.
La passion Van Gogh
6, 10 et 11 janvier, à 19 h 30.
Paris, été 1891, Armand Roulin est chargé par son père, le facteur Joseph Roulin, de remettre en mains propres une lettre au frère de Vincent Van Gogh, Theo. En effet, la nouvelle du suicide du peintre vient de tomber. Armand, peu enchanté par l'amitié entre son père et l'artiste, n'est pas franchement ravi par sa mission. À Paris, le frère de Van Gogh est introuvable. Le jeune homme apprend alors par Père Tanguy, le marchand de couleurs du peintre, que Theo, visiblement anéanti par la disparition de son frère aîné, ne lui a survécu que quelques mois. Comprenant qu'il a sans doute mal jugé Vincent, Armand se rend à Auvers-sur-Oise, où le peintre a passé ses derniers mois, pour essayer de comprendre son geste désespéré. En interrogeant ceux qui ont connu l'artiste, il découvre combien sa vie a été surprenante et passionnée. Et que sa vie conserve une grande part de mystère.
Pieds nus dans l’aube
20, 24 et 25 janvier, à 19 h 30.
En février 1927, Félix Leclerc termine sa 12e année. Alors qu'il livre du bois avec son père et ses frères, il fait la rencontre de Fidor, un jeune homme issu d'un milieu défavorisé, bien différent des gens qu'il a l'habitude de fréquenter. Les deux garçons développent une belle amitié, mais devront se séparer puisque Félix doit partir étudier à Ottawa dans un collège classique. Bien que conscient de la chance que représente cette opportunité, Félix redoute le fait de quitter sa famille et toutes ces choses si familières auxquelles il tient profondément.
Exposition : Marie-Chloé Duval
Du 10 janvier au 20 février 2018.
Vernissage le 19 janvier, à 17 h.
Marie-Chloé Duval est originaire du Kamouraska, elle vit actuellement à Montréal ou elle exerce son art avec passion tout en continuant ses études en criminologie. Voici d’ailleurs comment elle se décrit : “Pour tenter de répondre à toutes mes questions, ou du moins pour me libérer, je peins. Je peins en noir et en blanc pour créer une un visuel unique où la couleur est dans le regard du public. L’acrylique me permet de jouer de couches et de contrastes tout en suivant le mouvement et la spontanéité, des aspects centraux de ma pratique. Les représentations sont omniprésentes. Je confronte le public à un visuel fort et percutant, cherchant constamment à construire, déconstruire et reconstruire les images. Je crée pour ouvrir la discussion, jamais pour donner des réponses.”
Claire Wingen, directrice
Centre Socioculturel Gérard-Ouellet
Cinéma l'Imaginaire