Claudia Paquette.

Originaire de L'Islet, Claudia a toujours été sportive. À l'âge de 9 ans elle a été remarqué pour la course et a su se démarquer rapidement de ses pairs qui l'ont surnommée Claudia « The machine» Paquette.

Voici le portrait de cette athlète

Claudia Paquette

Âge : 18 ans

Lieu de résidence : L’Islet

Spécialités : sprint, longueur

Arrivé avec le Club Lavironde : 2014

Mes meilleures performances : 

Ma meilleure performance est mon 300 m intérieur au Martlet Classic à l’Université McGill où j’ai couru mon pb (45,97sec). Ma deuxième meilleure réalisation date de longtemps, mais c’était à Chicoutimi au provincial scolaire. J’ai couru mon 200 m en 27,76 sec. Ma troisième a été à l’épreuve du saut en longueur lors de la Soirée Rouge et Or 3 l’été dernier. J’ai obtenu une marque de 4 m 73. Celle-ci m’a valu la 2^e position.

Claudia en pleine action au saut en longueur. Photo : Yves Longpré.

Mes objectifs de l’année à venir

J’aimerais atteindre la marque du 5 m au saut en longueur. Je souhaite aussi travailler ma technique de course, mais mon objectif principal de cette année sera de combiner les études, le travail et le sport avec succès.

Ce que j’aime le plus dans ce sport

J’aime l’esprit d’équipe qui y règne. Que ce soit en entraînement ou en compétition, tout le monde se respecte. Les liens que l’on crée avec nos adversaires restent toujours. Même si on habite à une distance de 560 km, on reste tout de même en contact. Il est évident qu’en compétition, il y a le challenge où l’on veut tous se surpasser, mais il n’y a pas de rivalité. Il y a aussi l’attention que l’on porte sur les autres athlètes sans s’en rendre compte. On regarde les autres athlètes compétitionner ou on écoute les entraîneurs parler à leur athlète. On retient toujours des trucs intéressants.

Claudia à la course. Photo : Yves Longpré.

Ce que j’aime avec le Club Lavironde

C’est l’esprit de famille qui y habite, c’est-à-dire que tout le monde est là pour tout le monde. Personne ne va se penser meilleur que l’autre. Autant chez les parents ou les athlètes, chacun donne le meilleur de lui-même, que ce soit dans les activités de financement ou autres. On ne baisse pas les bras quand les résultats ne sont pas à la hauteur de nos attentes, car c’est de cette manière que l’on apprend de nos erreurs. S’il y a une technique qu’on comprend moins ou si on est stressé avant une course, les entraîneurs vont toujours être là pour nous ramener à notre objectif. Il ne faut pas oublier que les parents jouent un rôle important; soit par les déplacements, les accompagnements aux compétitions et bien sûr ce qui est le plus important, croire en nous et nous supporter moralement.

Aujourd'hui, Claudia étudie en massothérapie sportive, s'entraîne avec le Rouge et or et fait partie du Club Lavironde de Montmagny.

Extrait d'entrevue réalisée et autorisée par Félix B. Cloutier